Publiés sans aucune concertation préalable, ces textes sont les déclinaisons administratives des dispositifs installés par les décrets et arrêtés. Leur absence de réel contenu et la volonté de ne rien cadrer nationalement en renvoyant au local la responsabilité de gérer l’ingérable s’inscrivent totalement dans la dérive communicationnelle de ce ministère qui multiplie les effets d’annonce.(suite)
15 mars 2010