Quand l’austérité ne nous fait plus vraiment marrer...
Quand « rigueur budgétaire » le dispute à « récession » dont la menace est toujours dans l’air, quand le triple AAA, précieux talisman accordé à la France par les grandes prêtresses de la finance que sont les agences de notation sous réserve de « mieux faire au trimestre prochain »..., devient le seul et unique objectif du gouvernement, constituant ainsi une fort opportune justification à sa politique d’austérité… (chaque jour apportant sa proposition de nouvelles économies possibles, sur le dos des plus démunis…, cotisations aux mutuelles santé plus élevées, indemnités journalières réduites,… et puisque la croissance en 2012 ne sera sans doute pas celle attendue, ce sont encore 6 à 8 milliards d’économies ou de recettes fiscales supplémentaires que le président Sarkozy s’engage à trouver dans un nouveau et énième programme d’austérité… !), au nom de ce dogmatisme et de la nécessaire réduction du déficit et de l’endettement de notre pays, comment oserions-nous contester le projet de loi de finances 2012 qui prévoit la suppression de 30 258 emplois dans la Fonction
Publique, 14 000 pour la seule Éducation Nationale, le secteur le plus touché… ?
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