MANIFESTATION NATIONALE À PARIS LE 19 MARS
Horaires et lieux des départs
Marne
1er bus : 10H Vitry le François, gare routière puis 10H45 Chalons en champagne, gare SNCF et 11H30 Reims, maison des syndicats
2e bus : 12H30 Reims maison des syndicats.
Contact : Marne : 03 26 88 52 66 / ou vous pouvez envoyer un mail à [email protected] en précisant le lieu de départ et quel bus vous prendrez.
Ardennes
Départ 10 h 00 parking Voltaire à Charleville-Mézières, passage à 10 h 45 à Rethel (parking Carrefour).
Inscrivez-vous le plus rapidement possible en adressant un mail à [email protected] ou par téléphone au 06 72 97 38 19
Haute-
Marne
Saint-Dizier : départ 11 h place du Jard
Des bus partiront de Reims, Charleville et Troyes.
Vous pouvez contacter les sections départementales pour vous inscrire
Aube : 03 25 73 02 38 / [email protected]
Pour la Haute-Marne, un départ en train ou en voiture sera organisé en fonction du nombre d’inscrits, vous pouvez contacter la FSU Haute-Marne au 03 25 31 48 07 /
[email protected]
La politique de transformation idéologique de l’école touche au coeur même de notre identité professionnelle et de nos missions de service public. Elle met en œuvre le tri social et la sélection des élèves, le démantèlement du cadre national et le renvoi des responsabilités à l’échelon local par l’autonomie renforcée des établissements, la mise en cause des statuts des personnels.
Dès la rentrée, le SNES avait appelé les collègues à la grève le 6 septembre pour exprimer par une action exceptionnelle le rejet de la politique éducative et budgétaire du gouvernement.
Cette lutte contre la destruction organisée du service public d’Éducation doit se poursuivre après la grève majoritaire du 10 février à l’appel du SNES et de la FSU.
C’est pourquoi, dans le cadre de la journée nationale unitaire d’action du samedi 19 mars, le SNES appelle les collègues du Second degré à monter massivement à Paris pour défendre le Second degré, l’avenir de nos élèves et nos métiers.
Parce que nous ne voulons pas de cette école là !
Parce que nous portons un projet pour l’avenir de l’éducation et de la jeunesse !
MANIFESTATION
Samedi 19 mars
LE SECOND DEGRE A PARIS !
L’éducation n’est plus une ambition pour ce gouvernement.
Il aura supprimé 50 000 postes dans le service public d’éducation en cinq années, mettant en difficulté écoles et établissements, dégradant de façon systématique les conditions d’accueil, de formation et de qualification des élèves, détériorant les conditions de travail de l’ensemble des personnels.
Le service public d’éducation, cible de la chasse budgétaire, est tiré vers le bas.
A la rentrée 2011, ce seront 16 000 postes supplémentaires qui seront supprimés, 363 dans notre académie, malgré l’augmentation des effectifs d’élèves.
Les conséquences auront des effets immédiats sur la taille des classes dans les écoles, les collèges et les lycées, la scolarisation des enfants de deux et trois ans, les élèves en difficulté, le fonctionnement des services et l’offre d’enseignement…
Le gouvernement fait le choix de la régression.
Il a fait aussi ce choix en supprimant la formation initiale des enseignants, entraînant ainsi démissions et effondrement du recrutement.
NE LES LAISSONS PAS FAIRE ! PARCE QUE NOUS NE VOULONS PAS DE CETTE ECOLE-LÀ !
PARCE QUE NOUS PORTONS UN PROJET POUR L’AVENIR
DE L’EDUCATION ET DE LA JEUNESSE !
Le 19 mars, journée nationale d’action
Un pays, une école, notre avenir
Paris, le 2 février 2011
Rassemblé(e)s pour l’éducation le samedi 19 mars 2011 !
L’éducation n’est plus une ambition pour ce gouvernement. Il aura supprimé 50 000 postes dans le service public d’éducation en cinq années, mettant en difficulté écoles et établissements, dégradant de façon systématique les conditions d’accueil, de formation et de qualification des élèves, détériorant les conditions de travail de l’ensemble des personnels. La Révision générale des politiques publiques (RGPP) aura déstabilisé les personnels et affaibli les capacités de nombreux services comme celui de la Jeunesse et des Sports. Les universités sont confrontées à des difficultés budgétaires et des promesses non tenues.
Le service public d’éducation, cible de la chasse budgétaire, est tiré vers le bas.
A la rentrée 2011, ce seront 16 000 postes supplémentaires qui seront supprimés, malgré l’augmentation des effectifs d’élèves. Les conséquences auront des effets immédiats sur la taille des classes dans les écoles, les collèges et les lycées, la scolarisation des enfants de deux et trois ans, les élèves en difficulté, le fonctionnement des services et l’offre d’enseignement… Le gouvernement fait le choix de la régression. Il a fait aussi ce choix en supprimant la formation initiale des enseignants, entraînant ainsi démissions et effondrement du recrutement. Dans le même temps, la majorité parlementaire a décidé de favoriser l’enseignement privé au détriment du service public.
Le gouvernement ne prépare pas l’avenir. Ses choix dessinent une Ecole où les inégalités seront renforcées, une Ecole plus dure pour les moins favorisés, une Ecole où la concurrence entre établissements, par l’abandon de la sectorisation, sera la règle. Les enquêtes internationales, comme PISA, confirment que les inégalités se creusent. Le gouvernement ne répond qu’avec des effets d’annonce.
La mobilisation citoyenne doit permettre d’inverser ces choix. Les organisations, rassemblées dans le collectif « L’Education est notre avenir », appellent tous ceux et toutes celles qui soutiennent le service public d’éducation et son engagement permanent pour la réussite des jeunes, sans distinction de fortune ni d’origine, à une journée nationale d’action déclinée dans chaque académie le samedi 19 mars.